L’incident mécanique survenant dans les semaines ou mois qui suivent la vente d’un véhicule d’occasion est la hantise des acheteurs comme des vendeurs.
L’acheteur se sent livré à lui-même face à la panne, aux frais de réparation et à l’immobilisation du véhicule en dehors de toute garantie constructeur, et le vendeur craint de voir revenir un client mécontent qui se sent floué par un défaut mécanique que le vendeur n’a pas su ou pu anticiper. S’ouvre alors une période pénible pour les deux parties, faite de réclamations, d’argumentations sans fin et de négociations commerciales ; que de temps et d’argent perdu pour chaque protagoniste et, au-delà, quelle mauvaise presse pour le vendeur… alors qu’une garantie panne mécanique aurait suffi à pacifier les rapports.
Car si la panne, les imprévus dus à l’usure, sont des impondérables de la vente de véhicule d’occasion qu’on ne peut jamais exclure ni anticiper, la garantie panne mécanique est un outil simple et fiable permettant de couvrir tout incident mécanique survenant dans une période définie faisant suite à la transaction. Ainsi, il est possible d’assurer toute vente, quel que soit le type de véhicule, en modulant la formule selon la nature de l’auto (voiture particulière, véhicule utilitaire) ; l’ensemble des pièces mécaniques (moteur, freinage, direction, suspension, transmission, embrayage, etc.) sont couverts en cas d’avarie.
Mis en confiance par une bonne garantie panne mécanique, le vendeur et l’acheteur peuvent alors engager une réelle négociation, sans pour autant que le client fasse valoir le risque de panne mécanique pour inciter le vendeur à revoir son prix à la baisse ; mieux, la garantie constitue un argument de vente de poids. Et par la suite, le véhicule est pris en charge dans l’atelier du vendeur, la couverture par l’assurance est rapide et efficace ; de quoi tranquilliser le vendeur comme l’acheteur, qui s’engagent dans une relation de confiance et de fidélité.